Dessins à l'encre de Paul Verlaine (vers 1890), dont l'Autoportrait dit "cubiste". Exposition "Verlaine emprisonné", au Musée des lettres et manuscrits (Paris VII). (Photographie du mercredi 24 avril 2013.)
Les Lettres blanches, [I.]
par Frédéric Tison.
Fragments d'un Carnet de mots et d'images.
Frédéric Tison, Les Effigies, Librairie-Galerie Racine, 2013.
Le Clair du temps I, minuscules et photographies (2013), est le premier fragment d'un carnet de notes et d'images prises selon mes voyages et mes promenades. Auto-édition Lulu, 2013.
Une autre ville, poèmes de Frédéric Tison, encres de Chine et gravures de Renaud Allirand, 2013.
Frédéric Tison. Le Clair du temps II, minuscules et photographies (2012). Auto-édition Lulu, 2013.
Frédéric Tison. Les Ailes basses. Paris : Éditions Librairie-Galerie Racine, décembre 2010.
Il est possible de commander le livre directement auprès de l'éditeur en faisant parvenir au 23 rue Racine, 75006 Paris un règlement de 15 euros, pour un exemplaire, à l'ordre de la Librairie-Galerie Racine. (Les frais d'envoi sont offerts.)
Charles d'Orléans et les poètes de sa cour : "Je meurs de soif auprès de la fontaine", Les Onze Ballades du Puy de Blois (vers 1457-1460). Auto-édition Lulu, octobre 2011.
Nouveau blogue de Frédéric Tison
Les Lettres blanches, suite :
http://leslettresblanches.hautetfort.com/
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Mes livres sur le site des éditions Les Hommes sans Épaules
TON RÉCIF DÉSIR
Dessins à l'encre de Paul Verlaine (vers 1890), dont l'Autoportrait dit "cubiste". Exposition "Verlaine emprisonné", au Musée des lettres et manuscrits (Paris VII). (Photographie du mercredi 24 avril 2013.)
Portrait photographique de Paul Verlaine (vers 1868), dédicace "à Madame Nina de Callias / Le rustre prétentieux ci-dessus / Hommage / P. Verlaine". Exposition "Verlaine emprisonné", au Musée des lettres et manuscrits (Paris VII). (Photographie du mercredi 24 avril 2013.)
Charles-Louis Müller (1815-1892), détail de L’Appel des dernières victimes de la Terreur (1850). Musée de la Révolution française, au château de Vizille, en Isère. (Photographie du mercredi 6 mars 2013.)
à Norbert.
Charles-Louis Müller (1815-1892), détail (Jean-Antoine Roucher (1745-1794)) de L’Appel des dernières victimes de la Terreur (1850). Musée de la Révolution française, au château de Vizille, en Isère. (Photographie du mercredi 6 mars 2013.)
Ne vous étonnez pas, objets sacrés et doux,
Si quelqu’air de tristesse obscurcit mon visage.
Quand un savant crayon dessinait cette image
J’attendais l’échafaud et je pensais à vous.
Jean-Antoine Roucher, Dernier Quatrain (à sa femme, ses enfants, ses amis, sur un portrait le représentant), 1794.
Armand-Désiré Gautier (1825-1894), Portrait du poète Armand Silvestre (sans date). Musée des Augustins, Toulouse. (Photographie du mardi 29 mai 2012.)
Alberto Savinio (1891-1952), Orphée (vers 1929), pastel et gouache sur toile. Palais de Tokyo, Musée national d'Art moderne, Paris.
Gustave Moreau, Hésiode et la Muse (1891), détail. Musée d'Orsay, Paris. (Photographie du 18 janvier 2009.)
Corneille de Lyon (vers 1500-1575), Portrait présumé de Clément Marot (s.d.). Musée du Louvre, Paris. (Photographie du lundi 16 janvier 2012 [où l'on voit que mon nouvel appareil photographique saisit de meilleure façon les peintures protégées par des vitrines...].)
Rondeau responsif à ung aultre, qui se commenceoit,
Maistre Clement mon bon Amy
En ung Rondeau sur le commencement
Ung vocatif, comme maistre Clement,
Ne peult faillir rentrer par Huys, ou Porte :
Aux plus sçavans Poëtes m'en rapporte,
Qui d'en user se gardent sagement.
(...)
Clément Marot, Rondeau I, dans L'Adolescence clémentine.
Auguste Rodin, Charles Baudelaire (1892) [au second plan, Benoît XV (1915)]. Hôtel Biron, Musée Rodin, à Paris. (Photographie du samedi 3 décembre 2011.)