Jean de Chartres, Marie-Madeleine (fin du XVe siècle), en l'église Saint-Pierre de Montluçon. (Photographie du mercredi 10 août 2011.)
Les Lettres blanches, [I.]
par Frédéric Tison.
Fragments d'un Carnet de mots et d'images.
Frédéric Tison, Les Effigies, Librairie-Galerie Racine, 2013.
Le Clair du temps I, minuscules et photographies (2013), est le premier fragment d'un carnet de notes et d'images prises selon mes voyages et mes promenades. Auto-édition Lulu, 2013.
Une autre ville, poèmes de Frédéric Tison, encres de Chine et gravures de Renaud Allirand, 2013.
Frédéric Tison. Le Clair du temps II, minuscules et photographies (2012). Auto-édition Lulu, 2013.
Frédéric Tison. Les Ailes basses. Paris : Éditions Librairie-Galerie Racine, décembre 2010.
Il est possible de commander le livre directement auprès de l'éditeur en faisant parvenir au 23 rue Racine, 75006 Paris un règlement de 15 euros, pour un exemplaire, à l'ordre de la Librairie-Galerie Racine. (Les frais d'envoi sont offerts.)
Charles d'Orléans et les poètes de sa cour : "Je meurs de soif auprès de la fontaine", Les Onze Ballades du Puy de Blois (vers 1457-1460). Auto-édition Lulu, octobre 2011.
Nouveau blogue de Frédéric Tison
Les Lettres blanches, suite :
http://leslettresblanches.hautetfort.com/
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Mes livres sur le site des éditions Les Hommes sans Épaules
TON RÉCIF DÉSIR
Jean de Chartres, Marie-Madeleine (fin du XVe siècle), en l'église Saint-Pierre de Montluçon. (Photographie du mercredi 10 août 2011.)
Alban Berg, Lyrische Suite. II.
Votre grâce, ah la naissance de vos yeux
Le cri subtil silencieux de l'ensemble de votre corps quand il se pose sur l'espace qu'il charge de ses fleurs amères
La paresse de votre main entièrement pareille dans les jeux
A la servante du temple quand elle annonce les mystères ;
Le désir de votre fraîcheur lorsque votre âme de raison arrive aux portes rosées
De votre bouche pour parler sinueusement parmi nos murs
De forêts encombrées et de dragons barbus avant l'orée du soir
Dont vous avez rêvé nue en les songes de votre nuit par mille essoufflements obscurs ;
La caresse de votre jour étant simplement assise
Par la présence irréfutable et quand vos pointes de seins se lèvent
A chaque communion avec l'air souple de la vie où l'enfance vous est promise :
Le vague occupant votre amour et l'innocence vos chagrins.
Pierre Jean Jouve, "Jeune Fille", II, dans Mélodrame. (OEuvres. Paris : Mercure de France, 1987, pp. 916-917.)
Le château des ducs de Bourbon (XIIIe-XVe siècles), à Montluçon. (Photographies du mercredi 10 août 2011.)
À Montluçon, vue de l'esplanade du château des ducs de Bourbon. (Photographie du mercredi 10 août 2011.)
à Norbert.
Détail des Jardins, pièce des tentures Les Métamorphoses d'Ovide, d'après Battista Dossi, tissées pour le duc Hercule II d'Este dans l'atelier de Hans Karcher à Ferrare, en 1545. Musée du Louvre, Paris. (Photographie du lundi 29 août 2011.)
Le château de La Ferté, à la Ferté-Saint-Aubin, dans le Loiret. (Photographie du mardi 9 août 2011.)
Je charme tout.
Charles IX, devise anagrammatique sur le nom de sa maîtresse Marie Touchet
La musique donne l'idée de l'espace.
Tous les arts, plus ou moins ; puisqu'ils sont nombre et que le nombre est une traduction de l'espace.
Charles Baudelaire, Mon coeur mis à nu
Je demande à tout homme qui pense de me montrer ce qui subsiste de la vie.
Charles Baudelaire, Fusées
Entre les villages de Venosc (en bas) et des Deux-Alpes. (Photographie du mardi 3 août 2011.)
Campanules, sur le chemin entre Les Deux-Alpes et Venosc, dans les Hautes-Alpes. (Photographie du mardi 3 août 2011.)