Dans le parc du château de Champs (XVIIIe siècle), à Champs-sur-Marne. (Photographie du dimanche 14 avril 2013.)
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Les Lettres blanches, [I.]
par Frédéric Tison.
Fragments d'un Carnet de mots et d'images.
Frédéric Tison, Les Effigies, Librairie-Galerie Racine, 2013.
Le Clair du temps I, minuscules et photographies (2013), est le premier fragment d'un carnet de notes et d'images prises selon mes voyages et mes promenades. Auto-édition Lulu, 2013.
Une autre ville, poèmes de Frédéric Tison, encres de Chine et gravures de Renaud Allirand, 2013.
Frédéric Tison. Le Clair du temps II, minuscules et photographies (2012). Auto-édition Lulu, 2013.
Frédéric Tison. Les Ailes basses. Paris : Éditions Librairie-Galerie Racine, décembre 2010.
Il est possible de commander le livre directement auprès de l'éditeur en faisant parvenir au 23 rue Racine, 75006 Paris un règlement de 15 euros, pour un exemplaire, à l'ordre de la Librairie-Galerie Racine. (Les frais d'envoi sont offerts.)
Charles d'Orléans et les poètes de sa cour : "Je meurs de soif auprès de la fontaine", Les Onze Ballades du Puy de Blois (vers 1457-1460). Auto-édition Lulu, octobre 2011.
Nouveau blogue de Frédéric Tison
Les Lettres blanches, suite :
http://leslettresblanches.hautetfort.com/
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Mes livres sur le site des éditions Les Hommes sans Épaules
TON RÉCIF DÉSIR
Dans le parc du château de Champs (XVIIIe siècle), à Champs-sur-Marne. (Photographie du dimanche 14 avril 2013.)
Dans le parc de Bercy, à Paris (dans le XIIe arrondissement). (Photographie du vendredi 12 avril 2013.)
Dans le parc du château de Champs (XVIIIe siècle), à Champs-sur-Marne. (Photographie du dimanche 14 avril 2013.)
La Loire, à Gien, dans le Loiret. (Photographie du lundi 1er avril 2013.)
Vue de Gien, du Vieux pont (XVIIIe siècle) et du château (XIVe-XVe siècles), dans le Loiret. (Photographie du lundi 1er avril 2013.)
« Avec ses aînés, il faut parler respectueusement et en peu de mots ; avec ceux de son âge, affectueusement et de bonne grâce. En parlant, on tient son chapeau de la main gauche, la droite posée légèrement vers le nombril ; il est plus convenable encore de tenir son chapeau suspendu des deux mains, les pouces en-dessus, de façon à cacher la place de l'aine. Serrer un livre ou son bonnet sous l'aisselle passe pour être d'un enfant élevé. Une timidité modeste sied bien : celle qui colore agréablement le visage, non celle qui rend tout hébété. »
Érasme, La Civilité puérile (1530), chapitre V : Des rencontres. Traduction française d’Alcide Bonneau, 1877.
Le château des Stuarts (XVIe siècle (début de la construction, vers 1517)), à Aubigny-sur-Nère, dans le Cher. (Photographie du lundi 1er avril 2013.)
Pourquoi certaines statues nous hantent-elles, silhouettes, visages, ou détails des mains, des drapures ? Nous les retrouvons dans les parcs ou les musées comme des connaissances étranges. Sont-elles l'un de nos visages, ou bien leur pierre nous rappelle-t-elle le visage d'un autre que nous, incompréhensible à jamais, que cependant nous devinons ?
L'Hiver, détail (cf. Le Clair du temps I, vingt-deuxième page) dans le "Salon de Madame", dans le parc du château de Champs, à Champs-sur-Marne, en Seine-et-Marne. (Photographie de ce jour même.)
Un mystérieux château, près de Tortezais, dans l'Allier. (Photographie du lundi 1er avril 2013.)
à mon père.
Au bord de l'étang de la Ganne, à Durdat-Larequille, dans l'Allier. (Photographie du dimanche 31 mars 2013.)